Loisirs
Saut à l’élastique : un défi à faire lors d’un séjour en France
2021-05-26
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Le saut à l’élastique désigne un sport extrême, dans lequel vous pouvez vous défier en sautant d’une grande hauteur. Une fois que vous aurez inséré le harnais et pris le courage de sauter, vous serez en chute libre. Si vous aimez faire monter l’adrénaline, cette activé est l’idéal à faire. Lors d’un séjour en France, rien ne vous empêche de l’expérimenter. Par contre, si vous êtes dans une catégorie de personnes sensibles, il est conseillé de s’abstenir. Dans cet article, vous allez comprendre les enjeux du saut à l’élastique.  

Histoire du saut à l’élastique

Le saut à l’élastique a commencé sur l’île de Pentecôte, précisément sur l’archipel du Vanuatu. Pratiqué comme un rite d’initiation pour les hommes, il consiste à sauter avec des lianes depuis une tour en bois branlante. Le but de ce rite est de toucher le sol avec les cheveux, afin de le rendre fertile et d’assurer des récoltes abondantes. Il est interdit aux étrangers et aux femmes d’y sauter, malgré la légende qui raconte que le Naghol, ou ce lancement vers le sol a été inventé par une femme.

L’histoire raconte qu’une femme, qui était fréquemment maltraitée par son mari, s’est réfugiée sur un banian, qui désigne un arbre à feuillage persistant, célèbre pour ses lianes. Puis l’homme l’avait trouvé, et il est venu vers elle. Pour s’en échapper, la femme a sauté de l’arbre en s’attachant les chevilles avec des lianes. L’homme l’a suivie, sans s’attacher les chevilles, et s’était la fin pour lui. Le courage de la femme a incité les habitants du Vanuatu à en pratiquer dans leur rite. Réservez votre Saut élastique en France pour en faire de même.

Le véritable saut à l’élastique à vu le jour, quand certains membres du club des sports extrêmes, de l’université d’Oxford, fascinés par la tradition du Naghol, ont commencé à l’expérimenter. Mais à la place des lianes, ils ont utilisé des cordes en caoutchouc. Puis, en 1987, A.J. Hackett a sauté de la tour Eiffel à Paris, en utilisant une corde en latex. En 1988, la première plate-forme de lancement, depuis le pont de la rivière Kawarau, à Queenstown, a été créée. Pour plus d’informations, visitez le Blog de Saut a l’élastique en France.

Les normes de sécurités et le déroulement du saut à l’élastique

Les normes de sécurité dans le saut à l’élastique sont si élevées que le risque de mortalité est proche de zéro. Mais il est quand même essentiel de s’en remettre à des instructeurs expérimentés. La première étape du saut à l’élastique est la mise en place du harnais, qui est fixé sur le bassin et la poitrine. Aussi, une corde de sécurité peut s’y ajouter. La deuxième étape est l’écoute des directives de l’instructeur. La dernière étape, c’est le lancement.

Le lancement est divisé en plusieurs phases. La première est la chute libre où l’élastique reste souple et ne tire pas. La deuxième phase est le moment où l’élastique est tendu et on peut sentir, selon la position du corps, une traction. La troisième phase est celle de l’élastique extensible, qui fournit une décélération et une série de rebonds. Dans la quatrième phase, vous vous suspendez à l’élastique. Un moteur électrique vous ramènera vers un endroit où l’on peut vous détacher. Vous serez ensuite libéré par des personnels de la plateforme.

Ceux qui ne doivent pas faire le saut à l’élastique

Imaginez l’adrénaline et la peur de se trouver entre le vide et la terre. À cela s’ajoute un sentiment de conflit, entre l’envie de continuer et de faire demi-tour. C’est exactement ça que les sauteurs ressentent, quand ils se lancent dans le vide.

À cet égard, le saut à l’élastique est un sport extrême qui n’est pas fait pour les âmes sensibles. Il faut être très déterminé et convaincu pour sauter sur une grande hauteur. Aussi, le saut à l’élastique est déconseillé aux personnes souffrant de problèmes cardiaques, d’évanouissements ou de vertiges, ainsi qu’aux personnes ayant subi des blessures à la cheville ou ayant fait des opérations majeures.

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Conseils de sécurité essentiels pour la randonnée à suivre en permanence
2021-05-03
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Il n’y a rien de tel que de s’immerger dans la nature en faisant une excellente randonnée. De l’air frais ? Le calme et la tranquillité ? Des vues imprenables ? Oui, bien sûr. Mais si la randonnée peut être incroyablement vivifiante, elle comporte aussi des risques réels.

Heureusement, il existe de nombreuses façons de minimiser vos chances de rencontrer une urgence en randonnée et de vous équiper pour y faire face juste au cas où. Plus vous êtes préparés, plus vous avez de chances de passer un bon moment et de rester en sécurité.

Ces conseils de sécurité d’experts sont conçus pour vous aider à vous préparer intelligemment et à randonner intelligemment. Assurez-vous de les suivre avant et pendant chaque randonnée.

1. Consultez un garde forestier.

Autre que les précautions sanitaires comme la consultation d’une podologue de le mutuelle santé, lorsque vous décidez de l’endroit où vous allez faire une randonnée, votre meilleure option est généralement un parc national ou d’État. Les gardes forestiers qui y travaillent disposent d’une mine d’informations sur ce dont vous avez besoin pour rester en sécurité dans ce lieu particulier. Appelez le bureau du parc avant votre randonnée, visitez le site officiel du parc en question ou passez au bureau avant de quitter le départ du sentier.

La flore et la faune toxiques, et les changements récents sur le terrain, comme les arbres tombés ou les éboulements. Le service des parcs peut vous indiquer comment rester en sécurité dans l’environnement et comment le protéger également des dommages causés par l’homme.

2. Amenez au moins un ami.

Faites-en une activité de groupe pour éliminer le risque de se retrouver seul dans une situation désespérée. Avant de partir, vous devez discuter avec vos compagnons de quelques points, comme le degré de difficulté de la randonnée que vous êtes prêts à accepter, votre itinéraire général et votre plan d’urgence. Ces deux derniers points méritent un peu plus de détails, alors allons-y.

3. Créez un itinéraire et partagez-le avec une personne extérieure au groupe.

Rédigez un plan approximatif sur lequel tous les membres de votre groupe se mettent d’accord bien avant de quitter le départ du sentier. Lorsque vous calculez votre temps, n’oubliez pas qu’il peut être très difficile de prévoir la durée d’une randonnée sur un terrain inconnu. C’est pourquoi elle recommande de commencer tôt, d’être prudent quant au temps à prévoir et de ne pas être trop ambitieux. Partagez ce plan avec au moins une personne qui n’est pas en randonnée avec vous.

4. Convenez d’un plan d’urgence.

Avant de partir, sachez comment vous allez appeler ou envoyer de l’aide dans le cas improbable où quelque chose de grave se produirait.

5. Préparez-vous à la météo

Cela va au-delà de la simple vérification de la météo avant votre randonnée. Parlez aux gardes forestiers ou consultez le site du parc pour savoir quels phénomènes météorologiques défavorables sont les plus probables à cette période de l’année et comment rester en sécurité dans ces conditions.